Encore une histoire soufie : l’homme a un chien et un âne, dont il comprend le langage. L’un et l’autre se disputent sans cesse. Un beau jour, il intervient…
Encore une histoire soufie : l’homme a un chien et un âne, dont il comprend le langage. L’un et l’autre se disputent sans cesse. Un beau jour, il intervient…
Ce que je comprend n’est que ce que je comprends… Ce n’est pas LA vérité, tout au plus MA vérité… et encore peut-être découvrirai-je d’autres vérités personnelles en écoutant encore ?
Ce conte m’invite à la conscience que la “position haute” du sachant (ou croyant savoir) et du comprenant (ou croyant comprendre) inflige une violence.
Je crois comprendre… que seul le questionnement, neutre, non-orienté, peut apporter une “croissance relationnelle” entre le chien et l’âne ?!
Et même ça finalement… qui suis-je pour décider à leur place que leur relation doit croitre ?
Perplexité !