Dans cette histoire extraite du roman de Arto Paasilinna, La forêt des renards pendus, un moine a péché gravement et doit faire oeuvre de repentir de façon durable. L’higoumène lui ordonne de charrier chaque jour un énorme sac de terre et de cailloux…
Merci pour toutes ces belles histoires.
Il me semble avoir lu quelque part que Beethoven et Mozart, à la question pourquoi faites-vous ce que vous faites, auraient répondu “c’est tout ce que je sais faire”.
Si ça se trouve j’ai inventé ces “citations” !
C’est peut-être justement pour cela qu’elles me plaisent !
En tous cas, nous sommes souvent persuadés qu’il n’y a qu’une réponse à une situation donnée, la seule que nous sommes capables d’imaginer… Et chacun bâtit son tertre !
Beethoven a dit (cette fois j’en suis sûr): “ça finira bien par leur plaire !”.
Alors pour reprendre la dernière réplique de “Huis clos” (Sartre): “et bien, continuons !”
Merci Laurent pour cette belle histoire. Je suis une fan d’Arto Paasilinna et “La forêt des renard pendus” est un de mes romans favoris 🙂 Cet écrivain à un regard plein d’humour sur toutes une galerie de personnages loin d’être parfaits, ses romans me font beaucoup de bien !
Beau clin d’oeil pour le n°100 d’une histoire, une question.