Il est un berger qui entend le langage des animaux. Il sait écouter ses vaches et ses moutons. Il sait leur parler. Il va aussi entendre les étranges conversations de son chien avec une bête errante. Saura-t-il les comprendre vraiment ?…
Une histoire qui résonne bien en période de confinement. Merci Laurent. Cela donne à méditer. Personnellement ce texte me fait m’interroger sur ce que je suis prête à lâcher…pour de vrai. Je ne parle pas de relâchement temporaire, de distance, de parenthèse. Je pense à une véritable renonciation : je m’agrippe à certaines choses, certaines habitudes, certains conforts…Ne serait-il pas temps que je laisse les choses se rompre. Ce n’est pas baisser les bras, c’est juste laisser de la place à d’autre chose et parfois à du rien, si essentiel pour méditer, rêver, s’ennuyer…et laisser la place aux autres ;-). Renonciation et non renoncement. Renoncer à certaines choses mais ne pas renoncer au plaisir, à la joie, au changement, à la vie ! Bien à toi et à tous tes lecteurs !
Merci Laurent pour cette belle occasion de méditer… de remise en question… Qu’est-ce que je suis prête à accepter de perdre ?… Opportune question en effet… Bien amicalement
Felicité
sur 18 avril 2020 à 21 h 56 min
Peut-être aussi peut-on se demander ce que nous sommes en train de gagner, au delà de la maîtrise de l’épidémie. Tout ce temps à s’arrêter, à ne pas s’agiter, à se retourner sur nous-mêmes… va-t-il nous ouvrir sur quelque chose de radicalement novateur ?
Frédéric
sur 20 avril 2020 à 17 h 02 min
Merci Laurent pour cette histoire. Pour moi, elle pourrait faire écho à notre volonté de tout vouloir contrôler, de maîtriser coûte que coûte par la connaissance le devenir du monde, sans en comprendre in fine la conséquence finale… Le contrôle fonctionne un certain temps… jusqu’au jour où… Cette histoire nous invite au lâcher prise.
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Une histoire qui résonne bien en période de confinement. Merci Laurent. Cela donne à méditer. Personnellement ce texte me fait m’interroger sur ce que je suis prête à lâcher…pour de vrai. Je ne parle pas de relâchement temporaire, de distance, de parenthèse. Je pense à une véritable renonciation : je m’agrippe à certaines choses, certaines habitudes, certains conforts…Ne serait-il pas temps que je laisse les choses se rompre. Ce n’est pas baisser les bras, c’est juste laisser de la place à d’autre chose et parfois à du rien, si essentiel pour méditer, rêver, s’ennuyer…et laisser la place aux autres ;-). Renonciation et non renoncement. Renoncer à certaines choses mais ne pas renoncer au plaisir, à la joie, au changement, à la vie ! Bien à toi et à tous tes lecteurs !
Merci Laurent pour cette belle occasion de méditer… de remise en question… Qu’est-ce que je suis prête à accepter de perdre ?… Opportune question en effet… Bien amicalement
Peut-être aussi peut-on se demander ce que nous sommes en train de gagner, au delà de la maîtrise de l’épidémie. Tout ce temps à s’arrêter, à ne pas s’agiter, à se retourner sur nous-mêmes… va-t-il nous ouvrir sur quelque chose de radicalement novateur ?
Merci Laurent pour cette histoire. Pour moi, elle pourrait faire écho à notre volonté de tout vouloir contrôler, de maîtriser coûte que coûte par la connaissance le devenir du monde, sans en comprendre in fine la conséquence finale… Le contrôle fonctionne un certain temps… jusqu’au jour où… Cette histoire nous invite au lâcher prise.