Il existait, dit-on, quelque part en Asie centrale, un texte dont le contenu, proféré au bon moment, pouvait effrayer la mort et l’éloigner au moment critique. Ce texte n’a cessé de susciter la curiosité et les convoitises. Et peut-être que cette histoire nous parle aussi du fond de notre âme…
Tout d’abord un immense MERCI pour ces quatre ans d’histoires et de réflexions souvent abyssales !
L’épisode de ce soir, en nous ramenant la la pire perte d’humanité de notre histoire, semble vouloir boucler une boucle en effet… Car pendant 4 ans vos histoires et questions cher Laurent nous ont interrogé (entre autres) sur notre humanité et la perte de celle-ci. Pourquoi ? Comment ?
La vielle femme, toute asociale qu’elle soit, garde son humanité (et sa dignité) car elle n’a pas peur, même pas de la mort.
L’émissaire perd son humanité et finalement la vie, par peur de la mort ou même par cupidité ou orgueil.
Garder secrète la parole sacrée quand celui qui la demande est animé de mauvaises intentions. Peut-être est-ce l’une des solutions pour garder notre humanité ?
Dans la même époque, j’aime beaucoup ce passage du discours de Malraux: “entre ici, Jean Moulin (…). Avec ceux qui sont morts dans les caves sans avoir parlé, comme toi; et même, ce qui est peut-être plus atroce, en ayant parlé”…
Bon été cher Laurent
Merci Jean-Michel, tu me fais chaud au cœur
Merci Laurent pour cette régularité, pour toutes ces belles histoires inspirantes. Cette dernière histoire est magnifique. Elle nous donne à réfléchir sur notre rapport à la mort, vaste sujet!
Bravo je suis très admiratif de cette régularité de la pertinence des sujets et de la profondeur que cela m’apporte. Merci j’espère que cette aventure continuera en trouvant sa nouvelle forme
Bonsoir Laurent et merci pour cette merveilleuse histoire, que je trouve tout particulièrement émouvante. J’aime ton interprétation du conte ; je suis très attachée à cette notion de courage pas le courage ou de la bravoure du guerrier sur le champ de bataille mais le courage d’être qui on est , de faire ce que l’on à faire et peut-être même d’accepter la mort quand elle se présente à nous.
Merci pour toutes ces années de belles histoires. Tu as un vrai talent de conteur. J’aime le choix de tes histoires et leur diversité. J’aime les mots que tu emploies pour nous faire voyager avec toi dans l’univers des contes. J’apprécie que ce soit de l’audio, je trouve qu’il y a un pouvoir de l’imaginaire plus important avec la voix,. Bref quel dommage que tu arrêtes.
Pour ma part je dois t’avouer que quelques fois, voire souvent, je n’ai pas fait la pause que tu recommandais pour prendre le temps de réfléchir; j’attendais d’avoir tes clés de lecture toujours pertinentes. C’est dommage en effet, surtout que dans ton histoire tu savais installer un espace de lenteur propice à la réflexion.
Reviens nous vite dans le format de ton choix , mais reviens . merci
Merci Laurent de ces moments de réflexion et d’émotion. Sur tous ces sujets, essentiels et futiles, tu as un don pour transmettre, pour éclairer nos chemins avec cette lampe qui éclaire le tien. Sous une forme ou sous une autre, continue.
S’il te plaît.
Merci Joël
Laurent,
Ce rendez-vous du jeudi me manque déjà…
Il fut d’abord l’occasion pour moi de rêver, car tu es un merveilleux conteur. Et ta voix n’y est pas pour rien.
Tout en réfléchissant sur des sujets qui me touchaient toujours : évidemment souvent par rapport à l’actualité sur laquelle tu rebondissais, mais aussi par rapport à de véritables “histoires” qui me posaient… “Question” dans ma propre vie.
Je dois t’avouer (je te l’ai déjà dit), que je mettais rarement sur pause, trop pressé et gourmand de tes réflexions lucides, éclairées, distanciées, positives et souvent teintées d’humour.
Merci.