Une histoire racontée souvent par Karen Blixen, l’autrice de la Ferme africaine (et non de Out of Africa, comme il est dit dans l’histoire), qui met en scène Alexandre le Grand, en dialogue avec une femme capable de lire l’avenir. Son propre avenir, Alexandre n’en a cure, car il en fait son affaire. Mais connaître l’avenir des autres, voilà qui l’intéresse…
Ton histoire Laurent m’a rappelé celle de l’éléphant vert (ça marche aussi avec les autres couleurs) auquel il ne fallait pas penser pour que l’effet souhaité se produise. Je ne me rappelle plus lequel (d’effet). C’est parce que je pense à l’éléphant vert?
Bonjour Laurent, après être arrivé, je ne sais comment, sur cette page, j’ai eu le plus grand mal à la retrouver. Aucun lien sur LinkedIn, Facebook, le pod, non répertorié à la listes des histoires… l’accessibilité serait-elle l’oeil gauche du crocodile ?
à part ça, j’ai moi aussi compris cette très jolie histoire comme Claude, l’interprétation sans doute banale : la condition posée rend le résultat absolument impossible ; même l’homme le plus capable de construire son propre avenir n’est pas capable de ne pas construire son propre présent ; et autres formules creuses bien moins jolies que l’histoire !
Quant aux superstitions, croire en quelque chose qui n’existerait pas le fait exister, puisque notre pensée existe, est réelle, de l’ordre des choses. C’est comme ça que je comprends le dicton en (vieux ?) français du Burkina, au sujet de la sorcellerie et autres forces « mystiques » toujours attribuées au « village » : « c’est l’homme qui a peur, sinon, y a rien au village ».
Y a rien au village, mais en ville, il y a un homme qui (en) a peur.
Oui j’ai des progrès à faire… Et un avenir à construire