Un gorille entre dans un bar, à la stupéfaction du serveur, seul dans la salle… Sa surprise ne s’arrête pas là : l’animal s’assoit sur un tabouret et… commande un whisky !…
Un gorille entre dans un bar, à la stupéfaction du serveur, seul dans la salle… Sa surprise ne s’arrête pas là : l’animal s’assoit sur un tabouret et… commande un whisky !…
pour ma part vent d’un milieu très simple ou ça picolait sévère , ou l alcool était le baume de la souffrance , ce qui me faire rire , c’est la pertinence de la réponse du gorille !!! Question de point de vue . merci Laurent … et encore
Oui c’est certain!
J’ai raconté cette histoire des dizaines de fois et cette lecture ne m’est venue que cette fois-ci.
Je trouve que l’ambivalence est la force des bonnes histoires.
On peut aussi n’y voir qu’une histoire drôle et absurde…
J’entends plutôt le “biais de croyance” qui peut conduire à inverser la cause et l’effet.
Le barman: je ne vois jamais de gorille, donc j’en ai peur, donc je fixe un prix exorbitant.
Le gorille: le prix est exorbitant, je vais en parler à tous le gorilles de mon entourage, et personne ne viendra.
Alors que finalement il n’y a aucune relation de cause à effet entre le prix et la rareté des gorilles dans les bars.
Cela nous ramène aux nombreuses fois où je me sens victorieux d’avoir résolu un problème que j’ai tout simplement créé de toutes pièces par mes croyances ! Phénomène très fréquent dans les entreprises.