Il est brahmane, mais il n’a pas grand chose à lui. Un toit pour dormir, un lit et un pot de farine qu’il a suspendu à son plafond. Cela lui suffit pour rêver d’un avenir meilleur et de faire de ce pot de farine une myriade de richesses…
Il est brahmane, mais il n’a pas grand chose à lui. Un toit pour dormir, un lit et un pot de farine qu’il a suspendu à son plafond. Cela lui suffit pour rêver d’un avenir meilleur et de faire de ce pot de farine une myriade de richesses…
Trop bien tes histoires ! Tu parles à un convaincu pour l’imaginaire. Merci.
Ce que ça m’inspire? Que la violence des hommes sur les femmes semblent tellement aller de soi qu’on s’interroge sur le rôle de l’imaginaire et non pas pas sur la relation homme femme. Et lui? Il n’est pas capable de surveiller son enfant pendant que la mère s’échine?
C’est évident que ça apparaît… D’abord, je pense que fantasme n’est pas violence et j’accepte de raconter une histoire qui ne mette pas en scène sans commentaire une violence de ce type. J’aime bien aussi qu’il se prenne le pot de farine sur la tête.
Il me vient aussi que nos préoccupations du moment, toutes légitimes qu’elles soient, font « figure » dans notre environnement et que nous les repérons au détriment de tout le reste.