Du haut de son cheval, un cavalier voit un serpent rentrer dans la bouche d’un homme endormi. Que faire ? S’il n’agit pas, l’homme va mourir…
Du haut de son cheval, un cavalier voit un serpent rentrer dans la bouche d’un homme endormi. Que faire ? S’il n’agit pas, l’homme va mourir…
C’est amusant, je pensais spontanément à l’autre rôle, celui du Maitre…
Par exemple médecin, ou consultant expert, qui sait de quoi souffre son patient / client…
Doit-il lui dire ? ou pas ? ou partiellement ? sous quelle forme ? Diagnostic ? ou plutôt solution ?
Je ne vois pas de réponse universelle… Probablement faut-il s’adapter à chaque personne ? Mais sur quelle base ? L’intuition ?
La manière de faire caricaturée dans le conte est un extrême qui nous donne à réfléchir sur la notion “d’urgence”, voir sur l’ “état d’urgence”, et sur l’absence de consentement qu’elle engendre…
Pour autant, à part les médecins urgentistes, bien peu d’entre nous connaissent des situations ayant cette double caractéristique : urgence vitale et expertise indiscutée…
D’ou la nécessité du consentement !