Le calife est avare et cruel, et il n’aime rien tant que faire des paris. Comme il est avare et cruel – et qu’il est le calife! – il s’arrange pour ne faire que des paris qu’il gagne à coup sûr. De sorte que plus personne ne veut parier avec lui. Jusqu’au jour où, dans la cour du palais, un jeune maçon relève le défi…
Selon Sénèque: « ce n’est pas parce que c’est difficile qu’on n’ose pas… c’est parce qu’on n’ose pas que c’est difficile ! »
Ne pas douter pour avancer ?
Pourtant abolir le doute, c’est prendre le risque d’être dans l’erreur sans même s’en rendre compte !
Comment sortir de ce cercle vicieux : du doute qui paralyse à la certitude qui aveugle ?
Essayons la prudence ?
Finalement le Calife a choisi la prudence !
Il a « perdu » -peut être- la tête du jeune maçon ? Quelle importance ?
Il a gagné -peut-être- 9 jarres d’or… puisqu’il doutait !
Et finalement, pour une jarre d’or insignifiante à ses yeux, il a gagné un trésor d’éclairage intérieur !
Toi, tu me manques
Un gagnant-gagnant obtenu de haute lutte ! Qui je deviens quand je ne tiens pas mes engagements ? Elle est belle celle là Laurent, elle est belle pour moi cette peur, espérant néanmoins ne jamais l’éprouver.