C’est Anthony de Mello qui a dit : « Il faut écouter l’autre ; mais il faut surtout s’écouter soi, car si on ne s’écoute pas, on ne peut pas entendre ce que nous dit l’autre. » Plus qu’une simple maxime, cette phrase pourrait être pour Véronique un chemin de vie, un chemin de liberté, mais aussi un chemin vers le plaisir. Écouter l’autre, elle sait le faire depuis toujours. Un peu trop bien, confie-t-elle, au point parfois d’avoir eu le sentiment de faire ce qu’on attendait d’elle. De le faire bien, d’ailleurs, avec de la réussite et de l’initiative dans ses postes salariés ; de l’indépendance encore depuis dix dans le cabinet de coaching qu’elle a créé. Le tout soutenu par un profond goût du contact, profond dans l’intensité, profond dans la durée car Véronique est fidèle. Même si elle évoque ses vulnérabilités, Véronique est d’abord une femme puissante sur laquelle on peut s’appuyer et qui tient ses engagements. Elle dit cependant apprendre, plutôt récemment, à dire non, à dire stop. Je sais désormais utiliser un canapé, plaisante-t-elle. Sans doute en particulier pour assouvir sa passion de la lecture et du cinéma, ses appétits intellectuels. Le tout au service de ce même chemin. Chemin de liberté, chemin vers les profondeurs pour s’écouter elle-même. Et mieux entendre les autres. Les autres dans ses amitiés, les autres dans sa famille, deux enfants maintenant adultes, les autres dans son activité de coaching et de thérapie. Véronique, à la rencontre des autres, à la rencontre d’elle-même.

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